J’ai de la difficulté à dire ce qu’est vraiment MA passion. J’ai plutôt DES passions variées selon le moment de l’année et les différents événements qui arrivent dans ma vie. Une de mes grandes passions qui perdurent depuis des années est la lecture. En fait, c’est n’est pas autant lire qui m’intéresse que les livres eux-mêmes. J’aime l’objet. Je trouve qu’un livre neuf sent très bon. J’aime bien louer des livres à la bibliothèque parce que les tâches, les déchirures et les pages pliées racontent aux aussi une histoire. Pour moi, lire c’est rentrer dans un autre monde. J’ai découvert cet intérêt pour la lecture à une époque où ma vie était plutôt difficile. C’est en lisant la série Harry Potter pour la première fois que j’ai découvert qu’il existant des millions d’univers où je pouvais m’échapper. Un jour, j’aimerais bien écrire quelque chose qui soit publiable, mais j’ai encore beaucoup de travail à faire.
dimanche 15 novembre 2009
Ma passion dans la vie
Pourquoi l'éducation
Ma vie il y a 5 ans...
Il y a 5 ans, je fréquentais le cégep de Saint-Hyacinthe. J’avais seulement 17 ans à cette époque. Je n’avais pas de travail à temps partiel, j’étudiais plus ou moins, je préférais passer du temps avec mes amis. J’étais encore en pleine crise d’adolescence. Je passais la plupart de mon temps libre à bouquiner. J’aimais beaucoup trainer dans les bibliothèques et je dévorais plusieurs romans par semaines. Bien que j’étudiais en sciences humaines dans le but d’entrer à l’université en enseignement, j’hésitais encore sur mon avenir. J’envisageais aussi la possibilité de faire un diplôme d’études collégiales en cinéma. Par contre, le programme que je souhaitais suivre ne se donne qu’au cégep de Jonquière. J’ai renoncé à ce choix de carrière, car je ne souhaitais pas m’éloigner trop de ma famille et de mes amis.
lundi 19 octobre 2009
Pour moi, la société québécoise est...
Je crois que nous sommes une société ouverte, mais qui a ses limites. Le Québec est de plus en plus multiculturel et cela peut nous faire peur. Depuis que la Nouvelle-France a été conquise par l'Angleterre, nous tentons de sauvegarder notre identité différente du reste de l'Amérique du Nord, entre autres en protégeant notre langue. Cela peut donc être difficile de s'ouvrir aux autres cultures lorsque l'on croit que la nôtre est encore menacée. Mais je crois que nous nous en tirons plutôt bien.
Ma langue
Ma langue seconde est l'anglais. Je l'ai étudiée à l'école durant 10 ans. Elle représentait alors pour moi une simple matière, comme la géographie et les sciences physiques. Je l'apprenais pour réussir les examens et j'oubliais tout par la suite. Je ne l'ai jamais maitrisée, je ne l'ai jamais aimée.
Depuis que je vis à Sherbrooke, je me rends compte que ce pourrait être utile de parler plus d'une langue. À mon travail, j'ai souvent des clients anglophones et c'est difficile de bien les servir quand je ne peux pas communiquer avec eux. Aussi, j'aimerais bien voyager après mes études. Mais cela peut-être pénalisant de ne maîtriser qu'une seule langue.
dimanche 4 octobre 2009
Sherbrooke, pas tout à fait ma ville
Ce qui me plait à Sherbrooke c’est qu’on y trouve la plupart des avantages des grandes villes, mais avec beaucoup moins d’inconvénients. N’ayant pas de voiture, j’apprécie particulièrement pouvoir voyager en autobus gratuitement. Il y a plusieurs places pour sortir, que ce soit pour prendre un café, une bière sur une terrasse, jouer au billard ou danser. Il y a aussi un grand choix de restaurant et plus de parcs que je n’ai pu en visiter. Autre élément important, on y respire beaucoup mieux qu’à Montréal et les heures de pointe sont moins achalandées. Par contre, si on ne veut pas aller dans un bar ou au cinéma, les possibilités des divertissements sont restreintes. Il y a très peu d’activités familiales. Et l’été, avec le départ des étudiants, toute la ville tombe au ralenti.
L’endroit que je préfère à Sherbrooke est le lac des Nations. Je ne pourrais plus compter le nombre de fois que j’en ai fait le tour, que ce soit à pied ou en vélo. Les jours de beau temps, c’est l’endroit idéal pour faire une promenade. La preuve : la ville doit faire des règlements pour réduire les risques d’accident entre les nombreux piétons et cyclistes qui se partagent la promenade. Aussi, le grand parc est un endroit de rêve pour acquérir un joli hâle l’été venu.Malgré tout cela, je n’ai pas l’intention de rester ici lorsque j’aurai terminé mes études. Je suis encore trop attachée à la plaine du Saint-Laurent.
Mon pays?
D’un point de vue idéologique et patriotique, mon pays est le Québec. Il s’agit de la seule province où le français est la seule langue officielle. Contrairement au Canada, je ne crois pas que le Québec soit un pays déterminé par des frontières géographiques ni par un système politique. Le Québec en tant que nation est composé des gens qui y croient. Il ne s’agit pas nécessairement des descendants des colons français et des patriotes de 1838, il peut s’agir aussi des nouveaux arrivants. Il est difficile des définir les valeurs des Québécois, mais je crois que l’intérêt pour la langue française est important… et l’intérêt pour les Habs (le Canadien de Montréal) un gros atout!!!